Dominer une star quel pied

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il y a 6 ans

Dominer une star quel pied

Je me présente, je m’appelle Lucile, je suis âgée d’une trentaine d’années et je travaille dans le domaine de la communication. J’ai été approché dans le milieu de la télé, par un grand animateur, à la suite d’un passage dans son émission, dans le public. Après l’avoir sucé dans sa loge, il m’a laissé son tel, et m’a demandé le mien.

Honnêtement je ne pensais vraiment pas qu’il me rappellerait un jour, car pour moi il devait avoir plein de nanas à ses côtés. Pourtant, quinze jours après ma fellation, je reçois un texto. De lui. Il prend de mes nouvelles, assez rapidement. Et demande à me revoir. Je décide donc de lui répondre clairement si ce sera un rendez vous professionnel, ou tout simplement sexuel.

Les deux. Me répond-il. Au moins c’est clair. En même temps, je n’ai pas envie de refuser, car j’ai aimé le sucer. Il me demande de le rejoindre non pas chez lui, mais dans un hôtel de la région parisienne, assez côté. Je me prépare donc pour ce rencard, et j’avoue que je m’habille un peu comme une petite salope : je trouve une minijupe en cuir, des bas résilles et un petit haut en dentelle noire, avec un soutien-gorge assorti.

Me voilà arrivé à l’accueil, on m’indique poliment le numéro de la chambre. Tout le monde doit croire que je suis une prostituée. Et ça me plait. Suis clairement à l’aise dans ce rôle-là, tellement loin de ce que je suis d’habitude.

J’arrive dans la chambre. Je tape à la porte et il m’ouvre. Il me dit bonjour tout en me dévisageant de haut en bas. Oui, je pense que j’ai fait mon petit effet. Il me fait entrer dans la suite luxueuse tout en posant ma main sur mes fesses, pour m’indiquer le chemin de la chambre : je comprends que je ne suis pas là pour discuter. La chambre est immense, et un lit king size sur lequel il vient s’allonger. Puis je le vois plonger ses mains derrière l’édredon et je remarque les menottes qu’ils avaient caché. Je me sens mal. J’aime pas ne pas être libre de mes mouvements, et puis je ne connais pas ce type assez pour pleinement me laisser faire.

Mais ce n’est pas pour moi ! Il commence à attacher une main, avant de me demander d’attacher l’autre ; je m’exécute, assez soulagée et curieuse de voir la suite.

« j’ai envie que tu me fasses tout ce que tu veux, sois chienne »

Je comprends le délire. J’adore car j’avais jamais testé ça auparavant.

Je le déshabille alors, en déchirant sa chemise de marque ; tous les boutons éclatent sous la pression ; puis je retire son pantalon et le voilà à poil. Son sexe bande déjà à moitié. Pour le moment je ne me déshabille pas. Je tourne autour de lui et je remarque la ceinture laissée sur son pantalon. Je la saisis en souriant et je le regarde, avant de le frapper avec. Sur la cuisse. Le torse.

J’appuie le mouvement et je vois ses dents se serrer. Puis je le frappe sur le sexe, encore et encore jusqu’à ce que sa queue soit rouge écarlate ; il bande désormais de plus en plus. Son corps est désormais rempli de traces de coup ; et je vois qu’il adore ça. Je continue alors, tout en m’asseyant sur lui. Je sais que je mouille déjà ; je lui mets donc une capote et je lui tourne le dos, m’amusant avec sa queue, à califourchon sur lui. Ma chatte passe et repasse sur lui, sans le pénétrer. Je sens que ça le rend dingue. Je lui donne alors une bonne gifle. Et je m’assois sur sa bite, il me pénètre d’un seul coup. Et là, dos à lui, ne prenant absolument pas compte de son avis, je bouge alors mes fesses de haut en bas, prenant mon pied ainsi. Le plaisir montre, j’accroche mes mains sur ses jambes et je m’enfonce sur sa bite comme la pire des salopes.

Je vais de plus en plus vite et rapidement mon orgasme arrive et je jouis comme une garce, ne me retenant pas de crier.

Je me retourne alors et je le vois, il est en sueur et il ne semble pas encore avoir joui. Il avance la tête pour me voler un baiser mais il reçoit encore une gifle en réponse. J’arrache son préservatif et je le suce quelques secondes, juste pour lui redonner de la vigueur, je le pompe en le regardant dans les yeux mais dès que je sens le plaisir monter, je m’arrête. Je me lève alors sur le lit, et je décide de passer mes talons aiguille à plusieurs endroits de son corps. Ses jambes, son torse.

Les marques sont visibles et il crie et me demande d’arrêter. Mais ce sont les paroles qu’on oublie vite n’est-ce pas ? Je continue donc à lui écraser les parties, la bite et les testicules ; il a vraiment mal et il remue les bras pour se détacher. Il me demande de jouir. Je lui demande de me supplier. Et il le fait ! Quelle loque ! Je l’ai entre mes mains, une vraie chose. Je m’assois donc à côté de lui et je commence à le branler doucement, cessant de lui faire du mal. Et alors qu’il pensait les sévices finis, je le branle et je lui mets deux doigts dans le cul. Sans aucune préparation ! Il crie de douleur quand mes doigts entrent jusqu’à son fondement, jusqu’au fond ! Je le branle tout en doigtant son cul et il hurle, encore, tout en prenant peu à peu son pied. Il finit par juter, en hoquetant, et je retire mes doigts plein de m e r d e , avant de lui planter dans l bouche. Mon petit final ! Qu’il n’oublie pas ! Puis je le détache, et je sors de la chambre sans rien dire.

Voilà ce qui fut ma deuxième expérience avec lui. J’ai été comme jamais j’ai été avec un homme. Il le méritait.

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